Une guerre entre deux pays ou plusieurs pour n’importe quel motif, économique, sanitaire, militaire ou autres ont des retombées tragiques. Ces retombées sont souvent le plus concentrées sur le pays pris pour cible, mais restent effectives sur les deux pays. Attardons-nous sur les retombées humanitaires dans cette rubrique, comprenant les domaines sanitaires, économiques, sécuritaires et sociaux, bien sûr l’article fait allusion à la guerre en Ukraine enclenchée par les russes.
Les retombées humanitaires d’une guerre en Ukraine sur le plan sanitaire
Une guerre, c’est une tonne de dépenses pour pouvoir faire face aux installations détruites que les bâtiments sanitaires sont en bonne place dans le lot. En effet, les bombardements ou les blocus rendent inopérant de toutes les manières possibles un établissement qui distribue les soins.
En temps de guerres, les hôpitaux sont soit détruits, soit l’acheminement des instruments médicaux ou même l’aide des organismes internationaux sont bloqués. Dans ces cas, ce sont les populations, touchées par les obus des guerres qui ne se verront pas soigner ni même les premiers soins, comme exemple la guerre en Ukraine bloque l’accès à la maternité à Kiev. C’est encore le cas du Covid mais à échelle moindre.
Retombées sur le plan économique
C’est le premier des aspects que la guerre met en exergue, le plan économique. En effet, pendant que la guerre bat son plein, les commerces sont fermés. La première raison est que l’atmosphère n’y est pas propice, personne n’a envie de faire sa course quand une balle peut l’atteindre à tout moment.
Ainsi, les commerces fermeront, ce qui entrainera une chute drastique de la consommation, entrainant ainsi la famine et du manque à gagner pour les entreprises. Dans les régions agricoles quant à elles, les paysans aussi ne pourront ni acheminer leur récolte ni entretenir les champs sereinement, des pays comme le Yémen suffoquent de famine car les terres ne sont plus récoltées.
Les retombées humanitaires d’une guerre sur le plan sécuritaire
Dans ce type de période, les libertés sont restreintes, les allées et venues sont massivement scrutées pour déceler d’éventuels espions. Cela ne permet plus de vivre en paix, forçant ainsi des populations à fuir de certaines villes. Ces derniers se réfugient dans les villes qui paraissent les plus sures et dont les forces de l’ordre garantissent une sécurité digne d’une garde présidentielle.
Néanmoins, cet aspect sécuritaire de la guerre n’est pas profitable sur tous les plans à la population, au contraire cela s’annonce une traversée du « qui-vive ». Vivre ainsi amène forcément des soucis sur le plan de santé, sur la tranquillité d’âme qui est primordiale pour vivre en société.
Le plan social : première victime
La guerre apporte suffisamment de problèmes au niveau social, et cela se remarque surtout entre les familles, surtout s’il s’agit d’une guerre ethnique, interétatique ou raciale. Les familles sont alors divisées, les unes se retournant contre les autres.
D’autre part, le plan social est mis à mal, car la guerre entraîne dans la plupart des cas des déménagements, des exodes et inévitablement un temps d’adaptation. Certains membres de la société ne retrouvent plus leur vie d’avant et en sont marqués à jamais.
Pour éviter de telles dislocations humanitaires, une déchéance humaine, les dirigeants du monde devraient penser d’abord à leur peuple. Si la guerre est inévitable, que les premières mesures prises soient en faveur des peuples et non des armes et des plans stratégiques.
